A un roi. A un Commandeur.

L’Arabie Saoudite, gardienne des lieux saints de l’Islam, doit sauver l’Islam. Tout l’y prédestine.
Elle a cette responsabilité.
Elle seule peut livrer cette bataille, là où elle peut être définitivement gagnée, pour le bien de l’Humanité.
Ce n’est pas une guerre qui espère du sang.
C’est le jihad.

Le 11 Septembre 2001 visait davantage à briser l’alliance stratégique du Royaume avec l’Occident que les tours jumelles.
Il n’a pas été loin, en exploitant les failles du sunnisme, de réussir.
Nous serions aujourd’hui sans espoir s’il avait réussi. Il n’a pas ménagé ses efforts, mais il a déjà échoué.

Le 7 Octobre 2023 n’est pas que le jour où Israël est attaqué. C’est le jour où Allah est trahi. Où la terre sainte est souillée par l’illégitime.

C’est le jour où l’Islam, par des voies nécessairement impénétrables, peut être sauvé et peut sauver la Foi ou la « non Foi » du Monde, la Liberté et le libre-arbitre dont le monde, pour son équilibre et sa diversité, a besoin.

C’est cette offrande, resplendissante et si difficile à regarder, qui est faite au Royaume d’Arabie Saoudite.

Ce jour procure au Royaume l’occasion d’authentifier la Grandeur qui est la sienne, de renvoyer la force qui a été projetée sur le monde le 11 Septembre 2001 au néant d’où elle vient.

Il lui faudra un courage que seul Allah, que seul Dieu, est susceptible d’inspirer.
Il faudra à un Roi un courage que seul Dieu, que seul Allah, peut inspirer à son âme.

Il n’y a rien d’autre dans le Ciel.

La lapidation de Satan, à Mina, n’est pas à un seul usage de répétition symbolique, Altesse et protecteurs de la Foi, si elle ne s’exerce pas quand Satan est là et qu’il avance avec ses mensonges et travestissements.

Tout le monde ne sait pas le reconnaître.
Tout le monde ne peut le reconnaître.
Mais le sort du monde, parfois, tient à quelques personnes auxquelles la providence a voulu accorder ce don, cette lourde bénédiction.

Il faut discerner l’influence qu’il exerce dans les esprits et quels leviers il utilise pour l’étendre.
Le XXIe siècle semble fait pour lui plaire.
Si la lapidation de Satan est répétée, au pèlerinage saint de la Mecque, ce n’est pas en vain.
Le maintien du geste, c’est le maintien de la vigilance et elle n’est pas là pour permettre à n’importe qui de convoquer la Ummah, cela pour la livrer, au nom du très haut et miséricordieux, elle et le Livre Saint, aux griffes du vil esprit de corruption.

Ad-Dajjâl est là et il se découvre.

Je prie donc l’Arabie Saoudite, humblement, de reconnaître qui agit et de le rejeter selon la seule loi du Jihad qui vaille : vaincre le mal dans la sainte âme, dans le saint esprit.

A un roi. A un Commandeur.

Laisser un commentaire