La vérité seule sera réconciliatrice et de nature, par conséquent, à purger le monde de l’excès effroyable et sanguinaire de la violence djihadiste et de toutes les autres à venir.
Si nous acceptons le mensonge, les faux-semblants, si nous acceptons un statu quo bâti sur un socle bancal, alors il nous retombera dessus.
Ceci est valable pour la Syrie, comme cela l’est tout autant pour le régime qui asservit l’Iran à une révolution qui arbore fièrement son ambition islamique ou pour la Russie de Poutine qui s’est faite une spécialité de nager dans les eaux troubles.
Mais la vérité n’intéresse pas grand monde.
Est-ce la démocratie devenue médiatique qui nous écarte autant de ce goût alors qu’elle devrait nous y maintenir?
Peut-être.

