11-09-2001->07/10/2023: Highway to hell

Il y a eu, sous couvert de lutter contre le racisme, à Durban (Afrique de Sud), en août 2001, un pacte entre l’islam corrompu et sa nébuleuse, d’un côté, et la gauche altermondialiste, écologiste et prewokiste, de l’autre.

Ce pacte a été dûment contresigné par les attentats du 11-Septembre-2001 qui sont survenus quelques jours après l’échec retentissant, le 5 septembre 2001, de cette conférence dite « contre le racisme » et pourtant, déjà, ouvertement antisémite.

Nous n’y avons vu que du feu.

Nous avons vu l’assassinat du Commandant Massoud.

Nous avons voulu ne voir que l’assassinat du Commandant Massoud, intimant aux Etats-Unis d’Amérique d’anéantir les Talibans en Afghanistan.

Nous n’avons voulu voir que le mouvement spectaculaire de l’assassinat d’une figure de la lutte contre l’islamisme et nous sommes restés aveugles et insensibles aux tentacules de l’autre, propagés dans les systèmes cognitifs, inoculé au plus profond de l’âme, en cet endroit oú s’établit notre libre-arbitre, sur lequel plus personne ne veille, quand une force, un appel, m’a appelé, lui, à y pourvoir.

Nous n’avons pas voulu voir la conférence de Durban, et ce qu’elle a initié, lentement, sur l’échiquier des opinions publiques et des relations internationales.

Greta Thumberg m’inspirait, depuis son apparition, en fausse vespale ou en Jeanne d’Arc de la cause écologique, la plus grande méfiance.
Le samedi 26 novembre 2023, très explicitement, elle est vue en train de scander les slogans réclamant la chute d’Israël et son soutien au hamas.
Le masque est tombé.

#GretaThumberg apparaît donc comme l’icône de ce pacte que je dénonce. Les « féministes » sélectives, qui s’illustrent par leur silence quant aux viols perpétrés contre des juives, sont des éléments du dispositif formé pour faire plier nos démocraties, fatiguer et désarmer les opinions.

Au bout de cette conquête des esprits, il s’agit d’achever de substituer à la globalisation qui n’était pas suffisamment heureuse, un pacte qui, présenté comme étant de l’altermondialisation, est, surtout et avant tout, un pacte de « totalirisations ».

Il avance la promesse d’une paix qui est surtout un renoncement. C’est pour cela que ces mouvements plaisent tant à son Excellence des ténèbres, l’ayatollah Khamenei et à un obscur ex-officier du KGB qui a cru pouvoir satisfaire, par ce biais, son désir de grandeur.

Toutes et tous, grands et obscurs maillons de cette chaîne, sont inscrit dans cette grande ligne droite, cette véritable autoroute du Mal tracée pour y débrider la puissance des haines, qui relie le 11-Septembre-2001 au 07-Octobre-2023.

Elle cisaille la terre et le ciel, dans le zébrure de la haine fondatrice que constituent l’antisémitisme.

Nous devrons réunir à nouveau le ciel et la terre, le haut et le bas.

Ce pacte est très puissant par les idéologies qu’il ramifie comme par les prébendes politiciennes* qu’il distribue; par les cycles de haine et de ressentiments qu’il engage; par les idées qu’il greffe dans les esprits; par l’illusion qu’il répand.

Il se fonde sur une habileté sans pareille.

Pourtant,

Pourtant, Moi, le pur produit de la République française laïque, Je promets, qui commence à la mienne, l’âme d’un peuple, aux quatre coins du monde, parlant diverses langues mais contenu dans une seule pensée, qui va briser ce pacte et condamner celles et ceux qui lui ont prêté allégeance, qui va dévaster ce dont est faite la pensée néfaste dont est né ce pacte.

Je ne promets pas l’impossible.
Qu’il soit dit que je promets ce que je vois.

Je prie la Chine de ne pas succomber aux promesses alléchantes de l’ordre mondial que ce pacte augure.
Je sais cette Chine.
Je sais ce monde.
Au moment où l’on me voit tel que je suis, le bien triomphe.

Ce qui se passe, et qui vient de loin, n’est et n’a été possible que parce qu’il y a une faillite béante du système d’information et son inadéquation à la nature de certaines menaces. Il y a d’innombrables et constantes illustrations de cette défaillance. Pour être passé sous tant de radars, j’en suis aussi, modestement, la preuve vivante, parce que j’ai dit, par ce que j’ai fait.

*L’Espagne massivement dans la rue pour protester contre le premier ministre, issu du PSOE, Pédro Sanchez peut en témoigner. En France, Jean-Luc Mélenchon en prédicateur des gauches insoumises et soumises tente de lever la même mayonnaise.

L’antéchrist est le nom du crime perpétré contre l’Histoire

« Donnez-moi un axe, un levier et je soulèverai le monde », aurait dit un Grec célèbre.

L’axe, c’est Israël, le Israël territorial, avec Jérusalem en interrogation, mais plus encore, à travers lui, le Israël mystique. Le Juif ad personam.

Le levier, c’est une hybridation de l’antisémitisme originel, historique, avec des idéologies séculaires, toutes issues d’une même forge sensiblement subversive et négationniste, animées par la même pulsion.

Quant à la force, puisqu’il faut qu’une force s’exerce pour atteindre un effet, ce sont la Russie et l’Iran qui la procurent, au système.

Ces deux nations ont décidé d’être le moteur du plus grand crime contre l’humanité qui soit. Elles démantèlent l’ordre international, réduisent des institutions, agressent des nations, asservissent des esprits, entretiennent et conduisent le processus des actions-réactions.

Il faut voir, dans l’espace et le temps, dans la géographie et l’agenda, comment ces deux nations propagent leur commandement au système. Il faut avoir conscience de la nature de l’emprise que ces deux Etats, trop insondables pour n’être que profonds, ont su exercer et généraliser, y compris dans les démocraties.

Ce phénomène, soyons-en conscients, façonne le visage du monstre que nous avons en face, que nous avons dans notre dos, que nous avons partout tout autour de nous.

Il ne faut pas se tromper quant au complexe de persécution qu’entretient Vladimir Poutine, au mépris de toute réalité, en disant que sa nation est victime d’un complot des forces occidentales.

Il s’agit d’une posture délibérée, savamment calculée, avec le cynisme redoutable dont est capable un sous-officier du KGB qui s’est aligné sur l’horloge, au pas lent et quasi invisible, de la Révolution Islamique d’Iran, car c’est, à mes yeux, elle qui commande le renversement théologique, qui est sa raison et son but.

Poutine construit l’image du bouc-émissaire, si voisine de celle de l’agneau mystique. Il s’agit d’une fiction pour donner corps à une autre fiction, celle du « Sud Global », concept agrégeant une montagne des tensions refoulées qui peuvent être coalisées au nom de la revanche des opprimés de la terre.

Tous les refoulés y sont appelés. Tous les refoulés y viennent.

De cette façon, Moscou et Qom ont conclu une alliance pour faire scintiller leurs fascinantes impostures dans l’inconscient collectif.

Je voudrais que nous reconnaissions que le cerveau qui conçoit cela, c’est-à-dire le cerveau qui assemble cette équation diabolique, cette équation interdite, ne peut pas se concevoir autrement que comme l’auteur d’un crime contre l’histoire universelle, celle dont l’Occident, puisque initiateur, est le garant d’origine, garant imparfait et non exclusif, mais producteur de tant de génie et de réalisations.

Il n’y a pas et il ne peut pas y avoir plus grand crime contre l’humanité que celui-là.

« Mal nommer les choses, c’est ajouter du malheur au monde », a dit Albert CAMUS, prix Nobel de la Paix.

Pour la part qui est mienne, je ne crains pas les mots et, par conséquent, je ne nommerai pas mal les choses.

Alors, si le plus grand crime contre l’humanité porte un nom, il faut savoir le prononcer.

Car en prononçant le nom du crime, nous l’empoisonnons de son propre poison.

Ce crime des crimes contre l’humanité, la bible en parle, le coran en parle. La conscience en parle. Ce crime est désigné comme l’œuvre de l’antéchrist.

L’antéchrist.

Accuser le maître du Kremlin et le guide suprême de la Révolution Islamique d’Iran d’accomplir l’antéchrist, à cette aune, n’est pas de l’ordre de l’anathème.

Cela relève de l’analyse circonstanciée. Il y a des mains qui trafiquent les esprits, qui obèrent le discernement, qui conditionnent le psychisme.

L’Iran qui génocide ses filles, tue sa jeunesse, musèle la vie et la Russie, qui viole la vérité et étouffe son peuple, l’une et l’autre, se sont vouées à cela.

Si les mots ont un sens – et il n’y a pas de raison que les mots qui viennent du fond des âges et de l’instinct qui a pu s’y nouer, soient dépourvus de sens – ce qui se joue est, clairement, de l’ordre de ce combat.

Cette guerre qui s’étend invisiblement est celle-ci.

Elle est la guerre d’une fin du monde. Ou elle est la guerre de la fin de la fin du monde.

C’est une guerre à l’échelle de la mondialisation du monde, d’un système informationnel globalisé. Mais elle se nourrit du même aliment que les premières guerres.

Il faut se souvenir des horizons que nous avons voulu voir s’effondrer et qui se sont effondrés parce que telle était notre volonté.

Comment nous sommes-nous laissé porter, excités par combien de mirages de souveraineté, à remettre en cause, puis détruire, l’œuvre commune de tant de temps, de temps d’accords intelligents.

Il faut se souvenir des portes qui se sont entrouvertes au moment où nous avons décidé de fermer les premières.

Israël ne se trompe pas quand Israël dit que c’est un combat qui oppose la lumière aux ténèbres.

C’est, encore, un combat de la puissance des mots, de la force de penser le monde, plus et mieux, avec beaucoup plus d’amour, au sens le plus dense du mot, que ne le font ceux qui conspirent la perte de notre histoire.

On ne combat une malédiction que par une bénédiction.

Je pose un question: Comment vivra une humanité à milliards d’individus si elle s’accommode du pouvoir de l’antéchrist et ne voit pas ce que l’antisémitisme recèle d’inique et de dévastateur ?

Elle peut faire, aujourd’hui, un pas déterminant, du point de vue de l’émancipation et de l’éveil, dans sa propre histoire ou mettre un terme à son histoire.

Il y a probablement un temps de l’Etre, qui nous restitue et un temps qui nous absorbe, celui du faire, des amusements, du fil de la vie.

Dans le temps de l’Etre, le mouvement de la Russie et de l’Iran se voit. Il nous échappe dans le temps ordinaire.

Il y a une histoire humaine à sauver.

Il me revient que ma première tentative d’éclaircissement par l’écrit, posée en 1996, a débuté par l’énigme de cette phrase.

NB : Au cours de mon adolescence, je crois m’être plaint au pape, par courrier, d’un trouble en mon cœur. En 1996, répondant à ce qui était un appel, j’ai osé dire que je ne laisserai pas faire « ça ». J’ignorais ce qu’était ce « ça ». J’ai connu ma nuit de feu lorsque j’ai rêvé être devant des présences au sein desquelles je discernais celle du Christ et de Mahomet, et je leur parlais. Au réveil, en sueur, je me rappelais que mes paroles étaient effrontées. J’ai dit Non.Je me suis fait l’écho de cette expérience auprès de l’Elysée. Si les agents qui reçoivent et lisent la masse de courrier effectuent leur travail correctement, ils ont dû en conserver trace. C’était bien avant les Tours Jumelles.C’était comme une anticipation.D’une certaine façon, l’auteur de ces lignes est ce qu’il a dit d’indicible et d’indicibilité, dans une langue dont il n’est pas possible de se souvenir au-delà de la transpiration qu’elle produit, en cette présence.