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Être dans le sentier,
c’est être — irrévocablement, plus que de manière univoque —
déjà dans le point de vue que seul le vrai Océan s’offre à lui-même.
C’est à Lui d’être univoque.
Pas à la lanière d’interférer.
Le chemin fait partie du panorama,
comme le pinceau fait partie de la toile,
dit le sentier.
Croire qu’il est possible d’endormir l’Océan
en altérant la source de son renouvellement —
ou l’Océan lui-même,
par l’impossible défi de paix auquel l’affront veut mener —
ne calme rien.
Cela convoque.
Cela soulève des forces titanesques, monstrueuses et nocives,
qui opèrent des dynamiques insolubles,
et qui ne préjudicient pas seulement celui qui est altéré,
mais atteignent chacun,
en commençant par celui qui altère,
privé alors de sa capacité de résolution,
liée à la part de l’Océan qui lui revient.
On argue des prétextes stratégiques :
garantir les réserves d’eau, de neige, de pierre.
On s’en convainc matériellement.
Mais l’esprit de la Nation se corrompt.
Et pour le maintenir en vie,
l’imagination engendre l’impérialisme,
afin que la Nation se recouvre elle-même
de mensonge et d’amnésie.
Il n’est pas tout à fait impossible
que cette malédiction ait touché la Russie.
Il n’est pas impossible — même si cela relève d’un temps immémorial —
qu’elle ait touché la révolution de 1917.
Le quantum à solutionner dans l’Océan de tous,
c’est celui-là.
Ce qui appartient au mystère aléatoire de la Renaissance de l’Océan
ne peut appartenir à quiconque d’autre qu’à Lui :
l’Incarnation improgrammable, imprévisible,
en qui se manifeste le Réel.
Ce sont là de grandes choses.
De grandes matières.
De grandes surfaces.
À épouser.
C’est l’organe vital de la diplomatie.
Tant que l’Océan est conservé dans sa nature,
il résout.
L’Océan ne conserve pas sa seule nation
en celle en qui il se voit désigné, culmine, s’ouvre ou s’affranchit,
mais il conserve, en son sein,
l’uniformité de ce que sa peau lui permet de sentir.
Tous savent que cela n’a pas à être violenté, ni brimé,
sans effet désastreux pour tous, chacun.
L’Océan ne ressasse pas les malentendus.
Il les passe aux volutes de son rouleau puissant,
sous sa surface limpide,
pour se réaccorder.
Et c’est là que tout commence — ou que tout peut encore être sauvé.
> La guerre mondiale naît et croît dans le tumulte tû de cette tension indicible.
C’est pourquoi cette tension doit être dite —
afin qu’elle seule soit démontée,
ce qui est — faut-il le démontrer ? —
préférable à voir l’Océan lui-même démonté.
Restauration de l’Œuvre. Le cheveu tombé dans la soupe.
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