La trotteuse du djihad et le pendule de la révolution islamique

Depuis le 11-septembre 2001, avec plus d’éclat qu’auparavant, les terroristes nous tiennent au rythme de la trotteuse et dans la suspension du temps auquel nous fixent leurs attentats et les menaces pour nous faire oublier le grand mouvement pendulaire et ce qu’il dissimule derrière sa propre évidence géopolitique.
Lorsqu’on a un doigt dans l’œil, on ne recouvre pas la vue en se plantant un autre doigt dans l’autre œil.

Ce que j’ai pensé dans la nuit du 13 au 14 Novembre 2015.
La phrase qui m’a ouvert les yeux.
Bien à vous.

Classé sans suite

Si la compréhension physique de l’univers est un domaine qui nous dépasse, pourquoi un domaine de la métaphysique ne nous dépasserait-il pas lui aussi?
Pourtant, si nous sommes incontestablement le produit d’une physique, nous nous sommes dépossédé progressivement de l’idée de pouvoir être aussi, simultanément, le produit et le siège d’une métaphysique, qui nous accorde le privilège de la conscience et de l’intelligence.
Cette rétractation de l’ordre de la métaphysique, de la transcendance, singulièrement depuis que nous avons percé ou cru percer certains de nos mystères et développé un environnement matériel avancé, augmente ses ravages que nous revendiquons comme l’ultime liberté alors qu’il se peut qu’elle ne puisse n’être qu’une insigne bravade à l’égard de ce que nous sommes, chacun individuellement et compris dans l’ensemble qu’il forme avec les autres,  dans un monde lui-même tel qu’il est, offert à la conscience que nous avons ou que nous pouvons avoir de lui. Lire la suite « Classé sans suite »